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Max Oppenheim and Bill Turpin : Black Hole Series

Do you know Charles Burns' masterpiece, Black Hole ? If you don't, hurry ! Get a copy to read this great black and white comic book, taking place in Seattle during the 70's. In this graphic novel, some teens are hit by a mysterious plague causing them physical mutations... A real reminder of the upcoming AIDS, and a wonderful story. Black Hole is also known for Charles Burns drawing showing pictures of teens on a facebook. Photographer Max Oppenheim and prosthetic artist Bill Turpin decided to take real pictures of this drawings. An incredible work, from the shooting to the make-up, the casting and the stylism. You can find them on The Operator blog. More pics in the full article. Enjoy !

Black Hole, vous connaissez ? Si non, jetez-vous sur ce chef d'oeuvre de Charles Burns, prenant place dans la banlieue de Seattle au milieu des années 70. On y suit un groupe de jeunes adolescents de la classe moyenne qui contractent une mystérieuse MST appelée « la crève » (« the Bug » ou « the teen plague » en VO), provoquant d'étranges mutations physiques et les marginalisant. Certains d'entre eux squattent des maisons dont les propriétaires sont en vacances, d'autres, plus atteints physiquement, s'enfouissent dans la forêt et créent un campement pour accueillir les leurs (« The pit »). Les mutations sont une prémonition du SIDA qui commencera à sévir dans la décennie suivante. La bande dessinée est illustrée de sorte à évoquer les films d'horreur classiques des années 70. En France, le dernier volume de la série a été sélectionné pour l'Harway Award du meilleur comic book 2005. L'ensemble de la série a été sélectionné pour le prix de la meilleure série au Festival d'Angoulême 2006. (merci Wikipedia). Bref, cette série en noir et blanc est également célèbre pour ses portraits d'adolescents atteints de cette maladie, façon livre de fin d'année US. Et voilà que le photographe Max Oppenheim et l'artiste prothésiste Bill Turpin se sont mis en tête de faire ces photos pour de vrai. Nous voilà donc face à des portraits étranges, dérangeants, mais émouvants et très fidèles à l'oeuvre de Charles Burns. Un travail d'orfèvre, de la prise de vue au maquillage, en passant par le casting et le stylisme, que vous pouvez retrouver sur le blog The Operator. Plus d’images dans la suite. Enjoy !

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